Depuis plusieurs mois, la République islamique d’Iran accentue sa répression sur les femmes se libérant du tchador (et de la stricte interdiction de chanter et de danser) et leurs soutiens masculins, mais aussi sur les citoyens critiquant le régime ou suivant un culte « déviant » (tels les Bahaï), ou envers les minorités ethniques ou confessionnelles situées aux frontières du pays.
Parmi elles, à l’ouest, on compte