Des scènes de violences et de saccages ont émaillé la dernière journée nationale d’action contre la réforme des retraites. Sommes-nous arrivés à un moment de bascule ?
La violence doit être condamnée sans réserve, sans « oui, mais ». Je ne confonds évidemment pas les manifestations de ces dernières semaines organisées par les syndicats, les familles qui défilaient encore jeudi, et les factieux qui viennent pour semer le chaos dans le pays.
Le gouvernement porte-t-il une part de responsabilité dans cette éruption de violence ?
Cela fait vingt ans qu’on constate une montée du recours à