Un fléau majeur difficile à repérer…
e harcèlement scolaire correspond à précise Olivier Vors, chercheur en psychologie à Aix-Marseille Université. Ses dégâts peuvent être lourds et durables : d’après une large méta-analyse australienne de 2017, les enfants harcelés sont plus à risque de dépression (+221 %), d’anxiété (+77 %), d’abus d’alcool (+26 %) et de tabac (+36 %), mais aussi de tentatives de suicide (+213 %). Selon une étude britannique de 2018, à l’âge de explique Olivier Vors. On parle alors de cyberharcèlement.