Dénoncer la gabegie énergétique de l’intelligence artificielle, c’est un peu comme critiquer la fumée d’un stand à merguez à la Fête de l’Huma. C’est incongru. Dans l’abondante littérature sur les IA conversationnelles comme ChatGPT ou encore les IA génératives qui produisent des images au kilomètre, il faut une âme de spéléologue pour trouver des informations sur le bilan environnemental de cette exubérance numérique.
Ces interfaces sont