LE « JE » DU TITRE
'aspect autobiographique étant souvent mis en avant dans les ouvrages dits de résilience, le « je » peut être présent dès le titre: (Claire Norton). Une première personne et un « moi d Agnès Martin-Lugan. Quelle soit fictionnelle ou non, la littérature de résilience est, on s'en doute, à forte dimension psychologique et volontariste. Ainsi, le titre peut être un conseil ( de Sophie Tal Men), un état des lieux ( de Sandrine Catalan-Massé), un objectif ( de Soazig Leblanc).