« Fini, c’est fini, ça va finir, ça va peut-être finir. » C’est avec cette drôle de réplique itérative que commence Fin de partie, fameuse pièce du célèbre auteur irlandais (mais français d’adoption) Samuel Beckett. À (re)découvrir aujourd’hui dans la mise en scène de Jacques Osinski tant ses dialogues, faussement absurdes et résolument déconcertants, se chargent ici de résonances écologiques qui font rire autant qu’elles font froid dans le dos… crise climatique aidant.
Ambiance : surPour survivre, sans concession, il tyrannise son partenaire soumis et boiteux, Clov (interprété par Denis Lavant). Ce dernier trimballe un encombrant escabeau et de l’insecticide car il est sujet à de terribles démangeaisons.répond-il à son tyran.