De grands favoris au tapis et des Petits Poucets au sommet, c’est la Coupe du monde des surprises
De désespoir ou de joie, les larmes coulent à flots chez les champions
Pour souder les Bleus, rien ne vaut une victoire contre Albion
Pas question de filer à l’anglaise. Ils font trembler les vestiaires avec leur hymne : « Freed from Desire », le tube de Gala qui a enflammé la planète dans les années 1990. Pour la deuxième fois d’affilée, les Bleus se qualifient pour les demi-finales de la Coupe du monde. Deux coups d’éclat ont transpercé la défense des Three Lions et permis de prolonger le rêve : un sublime but d’Aurélien Tchouaméni, son premier dans la compétition, et le 53e d’Olivier Giroud en équipe de France. Avant même la rencontre avec le Maroc et l’espoir d’une finale, l’attaquant de 36 ans fête le Mondial des records.
Un nouveau type de femmes ou de petites amies de joueurs apparaît lors de ce Mondial : les instagrameuses
De notre envoyé spécial à Doha Loïc Grasset
Les doudounes, griffées évidemment, en isolant déperlant ou en plumes d’oie, sont ressorties à Doha. L’hiver, dès que la nuit tombe, le mercure flirte avec les 20 °C. Pas de quoi entamer le moral des Bleus, dont la joie de vivre, la solidarité, l’abnégation avec pour tube deux antiennes ressassées à l’envi depuis le 15 novembre (« le groupe vit bien » et « il y a une formidable osmose entre les jeunes et les anciens ») semblent inoxydables.
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