Paris Match. Dans quel état d’esprit aborde-t-on le scénario d’un Blake et Mortimer ?
Le secret, c’est d’être deux. Tout est simplifié, c’est plus sympa de jouer au ping-pong que seul contre un mur. Quand Yves Schlirf, le directeur éditorial de Dargaud, m’a proposé d’écrire un Blake, j’ai immédiatement dit oui. Mais dans la seconde qui a suivi, je lui ai répondu que je voulais le faire avec mon camarade Jean-Luc. On