es Bleus s’adonnent au Uno, nous au jeu des sept différences. Il y a quatre ans en Russie, Didier Deschamps et ses joueurs marchaient sur un filin lesté de pains de TNT avant leur huitième de finale contre l’Argentine. Parce que c’était l’Argentine, évidemment, mais surtout parce qu’ils avaient produit deux matches pénibles et une purge absolue, et qu’il fallait plisser les yeux pour les imaginer avec des confettis collés sur leurs visages radieux deux semaines après. Au Qatar, une relative torpeur escorte l’équipe de France vers son premier rendez-vous couperet de
