Armide de Gluck. Paris, Opéra-Comique, le 5 novembre.
C’est la première fois que Véronique Gens chante cette Armide. Difficile à croire tant la tessiture du rôle, son caractère, sa noble déclamation, tout. Lauriers sans réserve pour la galaxie des petits rôles, et pour l’Hidraot d’Edwin Crossley-Mercer, drapé dans la sombre étoffe d’un baryton royal.