Hereford (Angleterre), le 7 novembre
va comme un gant à Moe Hunter. Jusqu’à son opération du cerveau, cet Anglais reconnaît n’avoir jamais fait preuve de grands talents artistiques. Employé dans une chaîne de fast-food à Hereford, une cité historique de l’ouest de l’Angleterre, il vivait paisiblement. “Je m’intéressais au foot et je passais mon temps libre à sortir et jouer aux jeux vidéo”, explique-t-il au journal . En 2004, une affection rare le cloue au lit. Souffrant d’une méningite tuberculeuse foudroyante, il ne réagit pas aux traitements et son état de santé s’aggrave. Les médecins décident alors d’intervenir chirurgicalement pour drainer le liquide qui compresse son cerveau. Cette opération plonge Moe dans