Les chefs d’État aussi ont le droit à l’erreur. Il y a un peu plus d’un an, alors interrogée par le JDD, Salomé Zourabichvili prônait encore le dialogue avec la Russie, estimant que les seules sanctions ne suffisaient pas, qu’il fallait « faire des propositions » à Moscou. Revenue cette semaine à Paris pour participer au Forum de la paix, la présidente géorgienne sourit de cette indulgence passée. « Jugement erroné », confesse-t-elle. Voire naïf ? « On se trompait quand on pensait que l’on pouvaitnous confie-t-elle.
Entre Moscou et Bruxelles, l’équilibrisme géorgien
Nov 13, 2022
3 minutes
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