Armageddon Time iiii
’est l’un des réalisateurs américains les plus discrets et modestes, dont chaque œuvre provoque un déferlement d’émotions fortes. Avec seulement huit longs métrages en trente ans de carrière, James Gray sait se faire désirer. Son dernier,, injustement reparti bredouille du Festival de Cannes, touche en plein cœur. L’auteur de (1994), (2000) et (2007) regagne sa ville fétiche, New York, pour y raconter sa propre histoire.