« HOUELLEBECQ, C’EST UN COMIQUE INVOLONTAIRE»
Rendez-vous dans un café à Neuilly-sur-Seine, non loin de chez lui. Franck Dubosc s’installe en terrasse, comme à son habitude, et répond par une poignée de main ou un sourire aux clients qui ne peuvent pas s’empêcher de lui témoigner leur admiration. Ses préoccupations à lui sont simples : après l’entretien, il compte emmener son fils aîné, qui rêve de devenir footballeur professionnel, à l’entraînement. Rien à voir avec le personnage qu’il imagine dans Rumba la vie, le deuxième long métrage qu’il a écrit, mis en scène et interprété.
Marcel blanc, aigle américain tatoué sur l’épaule, moustache et clope au bec… L’acteur s’est confectionné un look de beauf dont il a le secret, mais pour mieux tomber le masque dans le rôle d’un père souhaitant obtenir le pardon de sa fille qu’il a négligée. Il poursuit son introspection familiale après le téléfilm (2021), de Ludovic Colbeau-Justin, où il racontait comment son père, atteint d’une maladie incurable, choisissait l’euthanasie. Dans les deux cas, un récit entre légèreté et gravité, qui lui permet de livrer une
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