eureux ou pas, le hasard fait parfois bien les choses. Enfin, bien, il y aurait matière à discuter. Voire pas du tout, tant déceler du bien dans l’affaire paraît fort improbable et que la principale concernée se serait volontiers passée de cette, hum, facétie du destin. Décryptons. Avec , Judith Owen s’était fixé une sorte de mission : refaire la lumière sur quelques artistes féminines du jazz anglo-saxon des années 1940, comme elle aime à les appeler, qui n’hésitaient pas à clamer leur désir d’indépendance, d’émancipation, et de se montrer ouvertement sexuelles dans leurs chansons à double sens. Et voilà que certaines récentes marches arrière de la Cour suprême américaine à propos du droit à l’avortement viennent “offrir” un éclairage singulier à ce acquiesce sans surprise notre Galloise de naissance, qui partage aujourd’hui son temps entre Los Angeles, La Nouvelle-Orléans et Londres.
Judith Owen Fair ladies
Oct 25, 2022
3 minutes
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