lles sont six, six petites filles que quelques mois séparent, six prénoms qui se suivent sur les registres des prisons et des camps : Mireille, Jacqueline et Henriette Korman, Andrée, Jeanne et Rose Kaminsky. Elles se désignaient commeune expression que Cloé Korman retrouve quand débute son enquête dans les foyers parisiens administrés par l’Union générale des Israélites de France, une Des ou ceux que la police française Si les archives parlent, les lieux donnent des contours à l’intolérable, comme la gare de Pithiviers, témoin de l’internement des Juifs en France et de leur déportation, ou le foyer Vauquelin, en banlieue parisienne, à quelques mètres duquel Cloé Korman habite pendant deux ans sans se douter.
Six fillettes face à l’Histoire
Oct 23, 2022
2 minutes
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