Nothing but the Blues
es fans l’ont surnommé « God » alors qu’il ne jure que par la musique du. En 1994, Eric Clapton, après le succès de son album , où il mêlait ses compos à quelques standards du blues, enfonce le clou en rappelant que même Dieu a besoin de maîtres. C’est l’album , suivi de trois concerts au Fillmore de San Francisco. La performance sera immortalisée par Martin Scorsese, mais on se demande pourquoi vingt-huit ans ont été nécessaires pour en publier l’album conjoint, car, à l’évidence, tant au niveau du chant que pour la puissance abrasive de ses solos, l’homme trône au sommet de son art, et la source, c’est Howlin’ Wolf (), Robert Johnson (l’inépuisableou bien), Eddie Boyd () ou encore Freddie King (, qu’il visitait déjà sur l’album). Incendiaire.
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