Love & Hate
’Amérique du pire et du meilleur. D’un côté, , de Joseph Kosinski, avec Tom Cruise. J’avais assez aimé le de Tony Scott, déjà avec Tom Cruise, quand il est sorti, en 1986. A cette époque, je me grillais encore une Marlboro après avoir bouffé un McDo en cachette de moi-même. Dans la connerie militariste, les acrobates du ciel avaient des petites gueules de cancres chahuteurs bien sympathiques. entre vieux copains de chambrée. Jusqu’à la scène où le bien conservé Tom Cruise retrouve le rongé par le cancer Val Kilmer dans un moment de cinémavérité plutôt gênant. Je suis sorti de la salle au début de la scène suivante, quand j’ai compris que ce Joseph Kosinski, spécialisé dans les remakes impossibles, comptait m’imposer les retrouvailles du petit Tom encore utile avec une ex de 50 balais (Jennifer Connelly), genre « T’as d’beaux restes, tu sais ». Avaler ça au nom de leur répugnante religion de la LOVE, c’était trop me demander.
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