« Un nom d’homme sur votre musique, et elle serait sur tous les pianos », l’assura Liszt, qui étrenna avec Saint-Saëns ses à quatre mains à Bayreuth. Formée à Stuttgart puis au Conservatoire de Paris dans la classe de Herz, l’Alsacienne, qui lui vaut l’approbation de Saint-Saëns : « Il n’y a qu’une personne qui sache jouer Liszt, c’est Marie. » ; puis, en 1892-1894, les trente-deux sonates de Beethoven et, en 1901, la somme pianistique de Schumann.
Marie Jaëll
Apr 28, 2022
1 minute
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