Les fusées de demain
sera une année charnière pour l’exploration spatiale. Alors qu’on commencera à analyser les premières données envoyées par le télescope américain cet été, la Chine devrait inaugurer sa station spatiale d’ici à septembre. Au total, 19 lanceurs, six sondes, une poignée d’atterrisseurs et orbiteurs, deux télescopes et une myriade de satellites devraient aussi être lancés durant les douze mois de 2022. Cette année sera aussi celle où le New Space, cette vague d’initiatives spatiales privées qui supplantent petit à petit celles des administrations publiques, devrait vraiment s’imposer. prophétise, par exemple, Tom Standage, rédacteur en chef du hors-série prospectif annuel du magazine britannique Mais derrière la vitrine du tourisme spatial, 2022 sera surtout l’année de la confirmation pour certaines technologies de propulsion spatiale du futur. La Nasa a confié à la start-up néo-zélandaise Rocket Lab la mission d’équiper un petit satellite de sa nouvelle voile solaire ACS3 sur son microlanceur et sa mission sera opérée par le spécialiste américain de la propulsion électrique à effet Hall, Maxar Technologies. La PME française Comat devrait mettre en orbite le premier satellite fonctionnant grâce à la
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