LA PART DE RÊVE
Stéphane Franck Berthelot a eu neuf vies, ou presque. Éditeur de musique, producteur pour le web et pour la télé, il a piloté le service des relations publiques du Centre Pompidou – moment » : ainsi une oeuvre de sa série « Néons », à la fois « », a-t-elle trouvé sa place dans un salon de l’Élysée. Durant la pandémie, Stéphane a été frappé par le silence qui a envahi Paris. « ». Inspiré par la gaieté contestataire du mouvement de design Memphis, il a alors « recustomisé » sur sa tablette des photos des toitures prises de ses fenêtres. « » Ses images joyeuses et poétiques ont été plébiscitées par les réseaux sociaux, à tel point que des internautes ayant pris un cliché de leur horizon parisien lui ont envoyé leur photo à personnaliser. Période de création intense, le confinement a aussi insufflé à l’artiste la furieuse envie d’intervenir dans l’espace réel et de déployer ses motifs vitaminés sur les toits du vrai Paris. Un défi pour « la vie d’après » ?
