En délicatesse
ES TEMPSSONT DURS. Les éditeurs avaient tous peur de Michel Houellebecq, craignant que ce dernier phagocyte les ventes et la presse du mois de janvier. Ils redoutaient aussi la campagne pour l’élection présidentielle, peu propice aux achats de divertissement. Mais le danger est principalement de Michel Houellebecq, crédité de 190 000 exemplaires vendus (pour un tirage de 300 000), du de David Foenkinos (64 000 versus un tirage de 120 000), de Frédéric Beigbeder (17 000 versus 55 000), etc. Quant à Joël Dicker, s’il a écoulé 195 000 exemplaires de son nouvel opus depuis le 10 mars, il lui faudra mettre les bouchées doubles pour atteindre (voire dépasser) son colossal tirage de 600 000 exemplaires.
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