C’était il y a un quart de siècle, un jeune designer de 21 ans faisait le buzz en publiant des objets totalement imaginaires – créés en 3D avec le logiciel Alias de Silicon Graphics –, mais reprenant l’ADN de labels comme Apple ou Vuitton. Ora-ïto était né ! Aujourd’hui, parmi les designers de la nouvelle génération, certains s’affranchissent allègrement des contraintes du réel et des lois de la physique en ne proposant que des intérieurs et mobiliers virtuels, entièrement fantasmés.
Une façon de laisser libre cours à leur créativité et d’inventer des environnements de vie purement oniriques qu’ils mettent dès lors au service de marques d’objets et d’éditeurs de meubles. Au passage, les fans de déco y puisent des idées de couleurs ou d’agencements. Ces derniers mois, ceux-ci ont envahi Instagram par qui, après avoir cartonné sur Instagram, s’est fait remarquer lors du dernier Salon du meuble de Milan…