À table avec… ANNE SINCLAIR
l faut d’abord rétablir une vérité :
I non, Anne Sinclair ne porte pas que des pulls en mohair. Elle n’en a même presque jamais mis. Pourtant, dans l’inconscient collectif, ses années de gloire télévisée restent associées à ces chandails colorés, tricotés par Anny Blatt. « Sur les 500 numéros de 7 sur 7 que j’ai présentés, j’ai dû porter un pull en mohair cinq ou six fois seulement, rectifie-t-elle. La laine, c’est trop chaud sous les projecteurs des plateaux. Puis il y a des petits fils qui volent partout, c’est désagréable. » Elle se reprend dans un sourire : « Enfin, je ne voudrais pas offenser Anny Blatt... »
Rendez-vous a été pris chez Lily Wang, restaurant de cuisine fusion asiatique sis dans le VII arrondissement, face à l’hôtel des Invalides. Déjà attablée, elle n’est pas seule, mais en pleine conversation avec Anne Hommel, conseillère en communication connue du Tout-Paris, experte en gestion de crises médiatiques, dont la liste de clients s’étend de à Laeticia Hallyday ou Ary Abittan. Moi qui me faisais une joie de déjeuner en tête-à-tête avec Anne Sinclair, il faudra donc compter un couvert supplémentaire. La conversation se déroulera sous le regard discret, mais attentif, de la communicante.
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