TROIS RARETÉS DE DONIZETTI
i est très marqué par le rossinien, contient des pages fulgurantes et doit être redécouvert, les deux derniers se signalant par, bien qu’assez platement conduit par Giuliano Carella, impose le Noé du très jeune (alors) Mirco Palazzi et le Cadmo affûté de Colin Lee. Della Jones en Louis V, Yvonne Kenny en Adelia, Janet Price en Bianca, gratifiée d’une grande scène à la fin, hissent haut , porté par la direction volcanique d’Alun Francis. Celle de David Parry rehausse aussi les mérites de , où l’Eustache de Christian du Plessis et l’Eleonora de Nuccia Focile forment un beau couple. Si vous aimez les duos de , vous ne manquerez pas ceux d’Eleonora et de son fils Aurelio (une incandescente Della Jones): ils les rappellent beaucoup. Un Donizetti moins fréquenté, qui gagne à être connu.
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