iché au cœur du quartier populaire Saint-Nicaise à Rouen se cache un ancien couvent reconverti en foyer pour jeunes filles étudiantes. Grâce au squat d’un collectif de défenseurs de l’environnement et du patrimoine, associations et riverains ont pris conscience de son état de délabrement et de sa richesse patrimoniale. Abandonné depuis 2015, le site abrite une chapelle xix siècle, l’un des derniers siècle. « se lamente Bertrand Rouziès de l’association La Boise de Saint-Nicaise. Depuis deux ans, ses membres s’opposent au projet du promoteur Sedelka de détruire une partie des bâtiments pour y construire une résidence de 121 logements et 110 places de parking. Le premier permis signé peu avant le changement de municipalité et l’instauration du nouveau PLU ne respecte pas le Code du patrimoine et de l’urbanisme, dénonce l’association. a fortiori observe Bertrand Rouziès. Pour finir, le jardin, l’un des derniers poumons de verdure de Rouen est voué à disparaître au profit d’une barre d’immeubles alors qu’il est défini comme cœur d’îlots et par conséquent inconstructible. dénonce Bertrand Rouziès.
