écouverte en 2013 dans la tombe d’un guerrier près de Tourfan, dans la région désertique du) faite d’écailles de cuir datée des années 786 à 543 av. J.-C. présente des caractéristiques étonnamment proches de l’équipement des armées néoassyriennes contemporaines (), montre une étude internationale. « », explique l’archéologue Patrick Wertmann, de l’université de Zurich, coordinateur des travaux. Miraculeusement préservée dans le sol aride, l’armure de Tourfan était constituée de 5444 petites et 140 grandes écailles arrangées en rangs horizontaux et cousues sur un substrat, le tout pesant 4 à 5 kg. Fruit d’un long (et donc coûteux) labeur, cette pièce magnifique était sans doute destinée à un cavalier de haut rang – dont les origines restent mystérieuses.
Une armure témoigne d’échanges inattendus entre Assyrie et Chine antique
Feb 10, 2022
1 minute
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits