Juliette Armanet LA CHANSON EN MODE SÉDUCTION
Une série de tubes, L’Amour en solitaire, Manque de toi, Le Dernier Jour du disco, et 200 000 exemplaires vendus de son premier album ont imposé Juliette Armanet, son sens de la mélodie, son vibrato et le tempo de son piano. Mais avant cette arrivée fracassante dans la chanson, l’artiste a vécu des tours et détours. D’abord, les concours prestigieux des hautes écoles et du théâtre. Puis le métier de journaliste : durant sept années, elle a signé une dizaine de documentaires pour Arte et travaillé pour France Culture. Elle franchit aujourd’hui un cap avec son nouvel album, Brûler le feu, qui alterne des discos endiablés et des ballades soul pleines de sens et de sel.
Comment vous présenteriez-vous?
D’une manière très concrète : j’ai 37 ans, je fais de la musique depuis, est paru autour de ma trentaine, suivi d’une grosse tournée, puis j’ai eu un enfant qui a aujourd’hui 3 ans. Mon nouvel album marque un petit changement de cap mais la chanson française reste ce qui me définit. L’amour de la variété au sens le plus noble du terme : de grands textes et de grandes mélodies, sincères et sophistiquées.
