PREMIER TEST DE LA NOUVELLE GÉNÉRATION DE MERCEDES SL Bon sang ne saurait mentir
C’est en 1952 que le patronyme SL (pour Sport Leicht, ou “Sport Léger”) est utilisé par Mercedes. Dès son lancement, la 300 SL enchaîne les faits d’armes (double victoire aux 24 Heures du Mans). En 1954 sort la version à portes papillon, élue voiture de sport du siècle en 1999 . Puis, à partir de 1955, SL rime avec découvrable. Apparues respectivement en 2001 et 2012, les deux dernières générations font appel à un toit en dixit Mercedes. La cible est donc désignée: Porsche. Sauf qu’en matière de présentation, la Mercedes-AMG (ce cabriolet a été développé par la branche sportive du constructeur) renvoie sa rivale dans les cordes. L’immense écran central, façon Tesla, regroupe la quasi-intégralité des commandes, et se bascule (de 12 à 32°) pour éviter les éventuels reflets (mais se montre un bel aimant à traces de doigts, pas toujours ergonomique, ni facile d’accès). La finition joue le grand luxe, avec un foisonnement de cuir et des ajustements au cordeau. Cela dit, l’ambiance est plus “Grand Tourisme” que sportive. C’est voulu. La “teigne” de la famille, la GT, est toujours au catalogue et il s’agit de ne pas lui faire de l’ombre.
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