François Feijoo, André repart du (très) bon pied!
Alors placé en redressement judiciaire, André cherche désespérément un nouveau patron qui réussira à sauver une partie des emplois et des boutiques du réseau. De son côté, François Feijoo est à la recherche d’entreprises à reprendre. Ça tombe bien, il a dirigé André entre 2005 (alors que l’entreprise était déjà en difficulté) et 2013, avant de partir chez le concurrent Eram. confie François Feijoo, Son choix ? Celui de proposer pour le rachat du–, 7,8 millions d’euros et la promesse de conserver 221 emplois et 55 boutiques, au tribunal de commerce de Grenoble. Son offre, la seule, est soutenue par la CGT, puis finalement validée. Il devient alors le nouveau président-directeur général d’un géant de la chaussure en perdition, en pleine pandémie. Afin de redresser la barre, l’homme d’affaires met en place une nouvelle stratégie destinée à Alors qu’il considère que ses prédécesseurs ne respectaient pas le positionnement de la marque – François Feijoo coupe tous les ponts, ou presque, avec la Chine. Les fournisseurs sont aujourd’hui majoritairement espagnols ou portugais.
