NADINE TRINTIGNANT L’HYMNE AUX AMANTS D SUNIS
Près de quarante ans après leur rupture, elle raconte un Jean-Louis insaisissable
La famille et le cinéma, c’est toute leur vie. Nadine Marquand, fille de comédiens et assistante monteuse, rencontre Jean-Louis Trintignant un an après « Et Dieu... créa la femme ». Ce sont les années Saint-Tropez, les amis s’appellent Vadim, Brando, Prévert, Genet, Signoret, Montand… Dans « Mon amour, mon amour », le premier film de Nadine, Jean-Louis tient le rôle principal. Elle aurait aimé qu’il le garde dans leur vie aussi.
Leurs scènes de la vie conjugale ressemblaient plus à Feydeau qu’à Bergman
Sans peur d’être impudique, elle a eu envie de parler de lui, d’eux, du si beau couple qu’ils formaient il y a longtemps, de leur amour fou, de leur séparation triste. Nadine Trintignant avait toujours refusé les propositions d’écrire sur Jean-Louis; elle jugeait l’aventure peu correcte vis-à-vis de l’autre homme de sa vie, Alain Corneau. Et puis… un éditeur insistant, Jean-Luc Barré, la disparition de Corneau, en 2010, un roman qui
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