Violence juvénile : le problème n’est pas Squid Game mais les parents !
Nov 03, 2021
3 minutes
UNE CHRONIQUE D’ABNOUSSE SHALMANI
n 1989, Ségolène Royal incriminait les mangas diffusés par le « Les séries de dessins animés japonais ne sont que coups, meurtres, têtes arrachées, corps électrocutés, masques répugnants, bêtes horribles, démons rugissants », écrivait-elle – déjà exaltée. Nostalgique, elle regrettait les créations « d’avant » où les gentils tuaient moins que les méchants, tout en étant « bien dessinés ». Outre son ethnocentrisme et sa méconnaissance crasse des mangas, Ségolène
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