Libérées pression capillaire
S’il y a bien une chose qu’on retiendra du premier confinement, c’est l’importance de notre tignasse soudain libérée des diktats de l’apparence pour cause de fermeture des coiffeurs. Tellement importante pour notre moral que nos figaros favoris ont été décrétés commerces essentiels dès le deuxième confinement!
Pour la plupart d’entre nous, l’absence de coiffeurs a sonné comme une bérézina du look, un naufrage de la séduction. Pour d’autres, le champ des possibles s’est ouvert. La vie sans contraintes sociales a permis de laisser libre cours à des expérimentations plus ou moins heureuses, parfois libératrices. Désormais, il n’y a plus de règles en coiffure, à condition de bien vivre avec ses cheveux et d’assumer. Coupe ultra-courte, lissage, décoloration, on signifie toujours quelque chose de personnel en domptant nos crinières. Et comme rien n’est définitif, l’exercice est ludique et permet de changer d’avis. 55 % des Françaises se teignent les cheveux « mais on est plutôt sur le phénomène “moi en mieux”, avec de plus en plus de balayages, pas des changements radicaux », précise Claire Le Bleis, directrice de L’Oréal Professionnel France. Contrairement aux Asiatiques ou aux Anglaises, nous restons assez
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