Les paradoxes de Doha
Sep 08, 2021
2 minutes
C. De.
ila* est prête. Veste de tailleur sur les épaules, la jeune femme s’apprête, après trois semaines de vacances en Europe, à retrouver le tourbillon de sa vie professionnelle à Doha. Dans la chaleur étouffante de la ville – 45 °C en ce début de mois de septembre –, l’expatriée renoue avec le décor qu’elle connaît depuis déjà six mois: les hauts buildings les grands appartements du centre-ville… et le bureau surclimatisé qu’elle partage avec ses collègues, où elle passe la majorité de sontemps. « Ici, tubossesbeaucoup. Tous les “expats” te le diront », glisse-t-elle.
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