Personne n’aime son ventre ! Années après années, les sondages se suivent et se ressemblent : les Français sont complexés et placent en tête de liste des . Et les 2,5 kg pris en moyenne pendant le confinement alimentent un peu plus ce complexe. Ce qu’on lui reproche ? D’être trop gros, trop mou, trop visible… Pourtant, l’enjeu n’est pas seulement esthétique. La graisse abdominale (superficielle quand le gras est bien visible, ou viscérale quand elle se trouve entre les organes) a un impact sur la santé, surtout si elle est viscérale. , explique la Dre Corinne Chicheportiche-Ayache, médecin nutritionniste. Une étude suédoise publiée fin 2019 révèle qu’un kilo supplémentaire de graisse viscérale multiplie par sept les risques de diabète, notamment chez les femmes. Pour autant, il ne s’agit pas de combattre cette graisse À grand renfort de privations. La parade ? Revoir son alimentation tout en douceur et adopter la bonne routine forme.
