Le bruit du verre
’étrangeté stupéfiante du film de Saeed Roustaee, tient dans ces quelques plans grandioses qui semblent empruntés à une superproduction hollywoodienne de l’époque où David W. Griffith avait tous les moyens imaginables pour raconter Dans le même genre, il y a aussi le d’Abel Gance, le de Murnau, et paradoxalement le de Fritz Lang. Le saccadé palpitant de ces images muettes et elle est économique: comment, se demande-t-on, toute honte bue, comment ces Iraniens sous embargo arrivent-ils à produire des films à 500, 1 000 figurants? Ce sont des rues entières, avec mouvements de foules, explosions, poursuites et cascades, et au milieu de ce barnum, des acteurs plus vrais que nature et, pour cause, ils n’en sont pas.
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