Affaire Mila: « On veut toujours brûler les jeunes femmes au nom du bien »
la sortie des tribunaux, chaque fois que les caméras pointent leur objectif sur Richard Malka et son sourire ignifugé, quelque chose d’un espoir paraît. En salle d’audience, les maux terrifiants de ce siècle viennent d’être auscultés – comme lors du procès des attentats de janvier 2015, où l’avocat représentait – mais le sourire persiste, qui semble dire: « Vous ne me désarmerez pas. » Ce fut encore le cas en ce début d’été quand Richard Malka a plaidé pour défendre Mila contre 11 de ses harceleurs. Cette jeune femme de 18 ans vit sous protection policière depuis que, il y a un an et demi, elle a tenu des propos virulents sur l’islam qui lui ont valu une avalanche d’insultes et de menaces de mort. Les accusés ont tous écopé de peines allant de quatre à six mois de prison avec sursis. Pour L’Express, l’avocat
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