Se faire accompagner
Il est essentiel d’être bien épaulé, pour ne pas sombrer
hez 9 % des aidants, le temps consacré à leur proche est de plus de 40 heures par semaine . Des. Dans ces conditions, se sentir submergé, ne pas savoir à quelle porte frapper pour demander de l’aide, se renseigner sur les dispositifs existants, n’a rien d’étonnant. La charge mentale des aidants familiaux est telle qu’ils peinent à s’y retrouver dans la jungle des aides possibles et passent souvent à côté d’un soutien bien utile. Il est pourtant essentiel d’être bien épaulé pour ne pas sombrer. participe à une plus grande fluidité des échanges, et permet d’adapter ses gestes et ses attitudes à son degré de dépendance. De la même façon, tout en étant informés et formés sur des sujets très différents, touchant aussi bien aux soins et aux bons gestes qu’à la recherche d’aides financières, l’aménagement du temps de travail ou des aspects plus psychologiques. , en passant par la complexe question de l’harmonie entre vie d’aidant et vie sociale, ces questions sont cruciales. Car, pour nombre d’aidants, la vie professionnelle n’est pas seule à être touchée. C’est parfois toute la vie qui est mise entre parenthèses. C’est le cas notamment de certains jeunes ou moins jeunes retraités qui doivent s’occuper de leurs parents très âgés. À cela s’ajoute la grande difficulté à avouer sa situation autour de soi, et particulièrement au travail.
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits