Le 3e homme en or!
Partager un coup de vélo de descente avec Loris Vergier, le programme est aussi alléchant que légèrement anxiogène. Emeric, le jeune louveteau de la rédaction, était évidemment le mieux armé techniquement, et surtout mentalement, pour affronter les pistes défoncées et engagées du sud de la France avec le nouveau pilote officiel Trek. On retrouve Loris chez lui, à Cagnes-sur-Mer, pour un début en douceur autour d’un petit café. La discussion tourne rapidement autour de la moto, et surtout du supercross américain qu’il suit de manière assidue: « Ces gars m’impressionnent vraiment, c’est incroyable la vitesse à laquelle ils enchaînent les difficultés. » La moto, c’est justement avec ce premier engin à deux roues que, gamin, il a commencé à défier les lois de la gravité: « J’ai appris à rouler avec une Yamaha PW 50. Là où l’on habitait, il y avait une grande pente, mon père me faisait descendre sans le moteur pour m’apprendre à maîtriser l’équilibre et les freins. Ensuite, ils m’ont mis le moteur et j’ai appris à faire de la moto et du vélo en même temps. Comme sur la moto, le frein avant était à gauche, il m’a tout de suite inversé les leviers sur le vélo. C’est pour ça que j’ai toujours roulé avec les » Loris avoue que si aujourd’hui, il reste assez fan de moto et apprécie d’en faire régulièrement, ce n’était pas forcément son activité fétiche étant plus petit: «
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