MÉDECINE ESTHÉTIQUE L’année du déclic ?
“DOCTEUR, IL FAUTEn mai 2020, dès les premiers jours du déconfinement, Linda Gomis, chirurgienne esthétique en Occitanie, a vu affluer dans son cabinet des patientes paniquées à la vue de leur tête… sur Zoom. se rappelle-t-elle. Un phénomène mondial qu’un médecin australien, le Dr Myles Holt, directeur de l’Académie australasienne d’esthétique dento-faciale (AADFA), a résumé sous le nom de «Zoom-face envy»: à force de se voir à l’écran sous un jour peu flatteur, les gens se sont mis à scruter leurs imperfections et à vouloir changer leur apparence. Une réaction qui s’est traduite par une forte hausse de la demande d’injections d’acide hyaluronique – pour combler cernes et sillons – et de toxine botulique qui détend les muscles. Et ce, même chez des personnes qui n’avaient jamais fait appel à la médecine esthétique.
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