L’âge d’or, côté lumière
C’est un roman où l’on plonge comme dans une piscine ensoleillée du monde d’avant. Un tourbillon de lumière et de talents qui vous emporte comme il a emporté l’héroïne, Calista, une étudiante grecque qui, par la grâce d’une rencontre, s’est retrouvée à travailler pour le cinéaste Billy Wilder alors que l’âge d’or du cinéma américain jetait ses derniers feux et que le Nouvel Hollywood de Scorsese et Spielberg voyait son avènement. Et peu importe que vous aimiez les films de Wilder un peu, beaucoup, à la folie ou pas du tout ; peu importe, même, que vous soyez cinéphile ou non : les bons, on savait tout juste que l’intéressé était le réalisateur de . Cela n’étonne pas l’auteur, le Britannique Jonathan Coe. confie-t-il au JDD,
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