Joseph Andras Frères d’âme
2016, Joseph Andras recevait le Goncourt du premier roman pour , un prix qu’il avait alors refusé pour ne pas son récit retraçant le parcours du militant communiste Fernand Iveton pendant la guerre d’Algérie. Après(2018), portrait du militant indépendantiste Alphonse Dianou, assassiné en 1988 dans l’affaire de la prise d’otages d’Ouvéa, le voici sur les traces de Hô Chi Minh à une époque où le leader anticolonialiste ne s’appelait pas encore ainsi mais Nguyên Tât Thành, et habitait Paris au lendemain de la Première Guerre mondiale. raconte son activisme naissant au contact d’ouvriers, d’anarchistes, de militants et des membres du Parti communiste français, qu’il rejoint dès sa création et qu’il encourage à prendre position pour les peuples colonisés.
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