“Afin de sauver mon salon de beauté fermé par le confinement, j’ai décidé de travailler à l’usine pour payer mes charges”
Nov 19, 2020
3 minutes
PAR AGATHE WARD
SAINT-BRIEUC, LE 12 OCTOBRE
Le dur labeur ne lui fait pas peur. Comme des centaines de milliers de petits commerçants, Malvina, 27 ans, ne demande qu’une chose: retrouver le droit de travailler. « Kali, mon institut de beauté, c’est mon rêve depuis toute petite. Je l’ai réalisé à 25 ans grâce à un emprunt et beaucoup d’huile de coude puisque j’ai effectué les travaux moi-même, aidée par mon beau-frère et un ami. » Mais depuis le 30 octobre, son salon de beauté situé à
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