AC/DC “ONE, TWO, THREE, BAM!”
“Montez le volume à fond!”
CTION, EN QUATRE LETTRES ET AVEC UN ÉCLAIR AU MILIEU. Au moment où le monde entier se retrouve claquemuré à la maison à écouter de la musique sur son mobile, AC/DC voit toujours les choses en gros plus qu’en grand. Nous sommes fin 2020, il fait moche depuis le début d’année et l’époque est par trop maigrichonne pour l’ogre Acca/Dacca. Pourtant, son dix-septième album studio est presque aussi attendu qu’un vaccin contre la Covid-19. Avec son rock’n’roll pur et dur qui vrille les tympans, la formule du groupe à la signature aussi célèbre que celle de Zorro est plus éprouvée que celle du Coca, mais reste finalement plus proche d’un bon vin. Vu l’ambiance, pas question de se gêner pour se resservir un verre. La rugueuse formation n’a rien changé depuis 1973, ou si peu. Bien sûr, nous ne sommes plus à l’époque de “Powerage” ni de “Back In Black” (cinquante millions d’albums écoulés, et la deuxième plus grosse vente de tous les temps), mais AC/DC est toujours debout, avec le lineup le plus original possible, soudé, vaillant dans la tempête. Il est surtout bon d’entendre leur hard rock bluesy qui botte le cul et de revoir leurs bouilles burinées. Angus Young, laisse un peu plus d’espace aux choeurs que d’habitude, mais a su garder ce son
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