Deux églises d’outre-mer à sauver
En septembre dernier, la troisième édition du Loto du patrimoine avait retenu dans sa sélection deux bâtiments situés en outre-mer, deux églises inconnues ou presque, qui nécessitent aujourd’hui d’importants travaux de restauration.
Achevé en 1893, Saint-Joseph d’Iracoubo est un monument incontournable de la Guyane. À l’intérieur, 400 m² de peintures réalisées par un bagnard. En Martinique, le Sacré-Cœur de Balata provoque toujours une impression de déjà-vu: il est la réplique au 1/5e de celui de Paris. Deux histoires singulières, deux trésors patrimoniaux.
Le Sacré-Cœur de Balata, église mémorielle
L’église du Sacré-Cœur de Balata est l’une des siècle, lorsqu’en 1902, après l’éruption de la montagne Pelée, des villageois sinistrés se réfugient vers le chef-lieu de l’île et les hauteurs de Balata. Dès 1905, on décide de construire un nouveau lieu de culte assez grand pour accueillir les paroissiens.
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits