Hippie never dies
u seuil des seventies, quand une jeunesse incompréhensible emportait le monde dans ses rêves de fleurs, son injonction d’amour pour tous et son désir de paix universelle, le magazine écrivait ces lignes prémonitoires: «Qu’on le veuille ou non, votre mode, votre beauté, votre style de vie et votre comportement sont maintenant influencés très fort par toute cette jeunesse souvent décriée. Durable ou pas: on n’en sait rien. Probablement pas. Mais quand dans très longtemps, certains de nos hippies d’aujourd’hui, devenus importants et bien calés dans le siège arrière de la DS du moment, voudront bien changer un soir leur journal financier contre ce vieux numéro de peut-être seront-ils, en rentrant chez eux, encore plus agacés par les têtes d’ordinateur de leurs propres enfants…» Eh bien nous y voilà, quelques décennies
Vous lisez un aperçu, inscrivez-vous pour lire la suite.
Démarrez vos 30 jours gratuits