LIFTING SOIGNÉ POUR SÉCURITÉ BOOSTÉE
‘‘EN FAIT, SUR SPEEDWAY, LAVOITURE EST RÉGLÉE POUR TOURNER NATURELLEMENTÀ GAUCHE. DU COUP, EN LIGNE DROITE, VOUS DEVEZ QUASIMENTTOURNER LE VOLANT ÀDROITE POUR ALLER TOUTDROIT.’’
Felix Rosenqvist, pilote
Pas de doute : les Etats-Unis et l’Europe n’ont clairement pas la même approche du sport automobile. Alors que les Européens ne peuvent s’empêcher d’en faire une vitrine technologique, les Américains visent surtout une compétition ouverte et spectaculaire au meilleur coût. Comme la Nascar ou l’IMSA, l’indyCar est fidèle à ce principe. La catégorie reine des monoplaces américaines recourt ainsi à un châssis standard commun à toutes les équipes et régulièrement mis à jour depuis son introduction en 2012. Impensable en formule 1… C’est Dallara qui a remporté, en 2010, l’appel d’offres lancé par l’IndyCar après la fusion du Champ Car et de l’Indy Racing League deux ans plus tôt. Pour incarner ce nouvel élan, les organisateurs ont alors commandé une nouvelle génération de monoplaces, définie par le cahier des charges ICONIC (pour Innovative, Competitive, Open-wheel, New, Industry-relevant, Cost-effective, ce que l’on pourrait résumer par innovant, compétitif, pertinent pour l’industrie et rentable). Toutefois, la soif d’innovation des organisateurs n’est pas allée
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