POPULAIRE À TOUT PRIX
Déjà formulée dans son best-seller La France périphérique (2014), la thèse du géographe Christophe Guilluy apparaît à première vue séduisante, sinon convaincante. « Jusqu’à la fin des Trente Glorieuses, martèle-t-il, la classe populaire était si intégrée économiquement et respectée culturellement qu’elle était la référence des partis politiques, des médias, du monde de la culture. » « À partir des années 1980 », poursuit le géographe, dû « à la division internationalele a été en périphérie des villes. La classe politique l’aurait au profit de habitant les Y régneraient les grandes gagnantes de la C’est dans ces que se façonnerait la culture d’aujourd’hui: et elle se résumerait et recyclerait les messages subversifs des groupes ségrégés – tels ceux diffusés par le rap – en les rendant .
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