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LONGUE DE COMPTOIR

commence par un développement à la de l’empereur rouge Xi Jinping. Michel Onfray nous détaille tout ce que les Chinois ingurgitent de créatures répugnantes – la chauve-souris en ragoût, mais aussi le chat en rôti, le chien en escalope et la soupe de pénis de tigre infusée au gingembre ! Le pangolin a droit à un traitement à part. Pas seulement» – cette répétition visant sans doute à un effet de vérité. Suivent des variations écologiques sur les zoonoses (non pas l’écologie « mondaine » des bobos urbains, mais la vraie, qui est une communion avec le cosmos et ses lois qu’on n’éprouve qu’au sein de nos campagnes profondes) et sur le principe vital selon lequel la mort se nourrit de la vie et, vice versa, la vie de la mort. C’est là, pontifie Onfray, le « ». Le virus est venu, a vaincu et s’en ira donc… pour revenir nous narguer dans un demi-millénaire!

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