DOUCEUR DES CRÉPUSCULES
Idée déprimante, anxiogène même. La vieillesse fait peur dans une société qui ne sait que faire de ses aînés sinonn’est pas un essai savant mais « » fait de rencontres et de visites dans des lieux associés à la retraite. Les mots de l’auteure sont apaisants. Les phrases s’écoulent comme un long fleuve aux abords de son embouchure maritime. Les bouillonnants torrents de la jeunesse sont loin. Comme Paul Nizan avant elle, Laure Adler proclame qu’elle ne laissera « ». C’est vrai qu’il faudrait en finir avec cette escroquerie ! De sa belle prose puissante et poétique, la romancière invite à une réflexion collective sur ce que nous souhaitons pour nos séniors et notre propre vieillesse. Rendant de nouveau hommage au Castor, elle finit en citant
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